Déboutée totalement.
Absence de volonté de reprendre le travail è démission.
Acceptation du temps partiel (155h30ó65h) è pas de rappel de salaire.
Pas de paiement du solde CP — équivaut à faute lourde.
Le Président a été remplacé pour le prononcé. Le remplaçant a signé du nom du Président des débats. Oralement, notre défenseur nous a dit qu'il y a eu hésitation, donc inversion. A cause du secret du délibéré, cela ne peut être qu'en changeant de Président !
Quelques maladresses, mais pour la vérité du dossier, ces écritures doivent être exposées.
"j'étais toute disposée à régler le chèque de 873,46 Frs en réglement du solde dû …" - Donc le solde de tout compte n'a pas été payé !
— deux salariées - totalité du personnel selon déclaration, donc pas de cuisinier ;-)
— "qu'elle pouvait partir" donc initiative de l'employeur pour la rupture (démission pour le CPH) !
— Incident décrit trop grave pour être réel (invention) !
— Témoignages (ou attestations) fournis par l'employeur, donc insultant pour la salariée.
Notre défenseur nous a fait les préparer, il nous a demandé de réduire les demandes que nous imaginions.
Il nous les a fait morceler - J'ai su en contactant un avocat après le jugement (dans le but de nous faire assister/représenter pour un appel/cassation) que ce morcelement était pour empêcher un appel !
D'où une certaine fureur (restée discrète) et un manque de confiance pour nous faire représenter par la suite.
Le jugement a été envoyé tardivement. Pour se protèger d'une forclusion, nous avons envoyé une lettre pour se réserver la possibilité d'interjeter appel après la lecture du jugement.
Pas de réaction.
Nous avons reçu le jugement et demander un pourvoi.
Alors là, appel et cassation ont été validés le même jour !